Un petit ami pour Aurore ?

Elle était heureuse ainsi, chaque famille a ses disputes mais pour une fois ils pouvaient montrer qu'ils en formaient une vraie. Elle allait se rasseoir à table lorsqu'Aurore s'écria.

"Oh il y a une enveloppe par terre ! Elle a dû se perdre parmi tous les cadeaux"

Elle la ramassa et la donna à sa mère, ne sachant pas du tout qui était l'expéditeur. Fulvie ouvrit l'enveloppe qui y contenait une lettre, en lisant la lettre elle devenait de plus en plus pâle et commençait même à trembler.

Citation :

Chère Fulvie,

Tu es resplendissante dans cette robe, malgré le temps tu restes toujours aussi belle. Hé oui je te vois, en réalité je suis de retour à Rome, si ce n'est pas un beau cadeau ça ?

Tu peux rassurer ton époux je ne reviendrai pas te conquérir... mais vous n'avez pas fini d'entendre parler de moi, tu sais ce que je peux raconter et/ou inventer.

Je viendrai te voir après la fête, sois au moins polie de me faire un accueil "agréable" lorsqu'Antoine sera occupé.

A toute à l'heure, amicalement.

Ramus.

C'était n'importe quoi car il était toujours là où César l'avait envoyé mais dieu sait comment il avait trouvé un messager à corrompre pour qu'il puisse déposer cette lettre. A peine eut-elle fini de lire la lettre qu'elle posa la main sur son coeur, elle était dans les bras de quelqu'un mais elle n'eut pas le temps de déterminer qui il s'agissait avant de s'écrouler.

L'empereur était derrière elle quand elle s'écroula, les enfants approchérent d'elle après avoir crié " maman".Antoine approcha et lui tapota les joues.

Antoine : Fulvie, reveille toi...aller cherché le médecin!